Prenez donc le premier train dès que le souffle enivre vos poumons.

Suivez votre instinct gonflé comme un ballon !

ans cérémonie ni lourd bagages,
Sans certitudes ni ombrages.
Laisser les odeurs, sensations et paysages sous vos yeux défiler,
Le coeur attentif, le nez levé, l'air détaché,
Observez, respirez, chaque saison chasse les sombres idées !
Chantez l'air du temps, inspiré du moment et sans faux-semblants,
Pour aérer gaiement vos plus belles pensées.
Aimez votre vie !
Fredonnez son refrain, n'imaginez rien !

Succombez à son charme, ses surprises et reprenez un autre train !
Nous portons un goût pour la vie insoupçonnable dès le premier souffle.

L'amour à la vie se dévoile dans le soi profond au fur et à mesure que l'on grandit.
Chemin faisant si je te garde innocence intacte, tu me récompenseras.

Tant de plaisir qui m'a frôlé ou m'a nourri au-delà des joies et des déconvenues irrémédiables !
Dans une vie on emprunte un chemin rempli d'espérances et de rêves, car on ne saurait se satisfaire que de sérieux.
Le cheminement dans l'innocence se perd, il procède pas à pas sans et laisse la marque de ses anciennes empreintes. Avancer sans penser que c'est une forme d'errance mais comment savoir à certains virages où tourner ?

Toujours regarder devant, innocent de doutes et de culpabilité : c'est la clé !

Arrivé en gare, il faut monter dans le train sans écouter les aînés inquiets crier gare, afin de recevoir en temps et en heure tout le sel de la vie.
Il faut vivre comme l'enfant à chaque instant.
Méditer..
Une posture assise confortable,
En tailleur, dos câlé, membres rapprochés,
Un regard étiré au loin comme attiré par l'horizon.
Une mâchoire dessérée, trachée haute pour respirer avec amplitude,
Les deux mains jointes et ouvertes en cadeau vers le ciel.
Vous êtes prêt à recevoir, presque seul au monde, en cet instant interminable de pause physique et mentale (ou presque).
Assurez-vous que personne ne vienne vous divertir, éloignez-vous de tentations et de préoccupations : vous êtes transporté dans une bulle où votre souffle est l'unique perception.
Fermez les yeux, paupières abaissées pour fermer les volets intérieurs : vous vous retirez du contact avec l'environnement, votre Moi, votre maison est en totale sécurité.
Votre colonne vertébrale vous relie comme un tuteur á la terre et vous stabilise.
Les images parasites sont des nuages de pensées que vous expirez fort.
Comme un poisson dans l'eau,ou un bébé in utéro : vous êtes léger, réunifié à l'élément eau, à votre source de vie.
Laissez entrer cette paix, sentez-vous pousser comme les branches d'un arbre enchantė qui atteint l'arc-en-ciel tout là-haut.
Choisissez une couleur : celle du changement à venir ! Comme l'edelweiss, au duvet pur et laineux, comme la neige fraîche tombée par flocons dans vos mains. .ou une autre couleur.
Elle vous appartient nichée dans l'arc-en-ciel de vos pensées. Vous l'avez ?
Bien ! Demandez-vous, à présent, quel parfum aurait cette future vie : printanière, boisée, pétale de rose ou feu de cheminée ?
Ensuite, visualisez les personnes qui vous entoureraient : un enfant qui court et rit aux alentours ? Un chien heureux ou le silence pour vous inspirer de la créativité ?
Qui vous parlerait le matin : votre conscience, votre odeur du café, un coeur à partager ?
Comment aimeriez vous remplir le calendrier des week-ends des prochains mois : une année inconnue pleine de surprises ? Un passé nostalgique en toile de fond pour repeindre ce nouveau tableau de nouveau ?
Votre pensée actuelle est force de créativité, vous avez le pouvoir d'orienter l'avenir comme bon vous semble !

Ecrivez-le dans votre imaginaire, passez les mots par votre main car, couchés sur papier, ils seront ineffaçables.
Vos désirs ainsi mentionnés là noir sur blanc auront émergé. Avec évidence lors d'une relecture, ces mots seront justes et inspirants pour vous et généreront une suite..en temps et en heure.
Vous serez surpris de constater après plusieurs semaines que les envies profondes maintenues vivaces en soi prennent forme, un rêve concret rattrape la réalité !

Projetez-vous dans les moindres détails les yeux fermés avant de vous endormir : faites des rêves en conscience et "assez grands pour ne pas les perdre en les poursuivant" comme l'exprimait Oscar WILDE !
L'acceptation ne vient pas de soi ! Elle existe au fond de soi, s'y niche au loin et doit être excavée en quelque sorte !

Elle se cherche souvent dans une vie, se refuse, se reprend comme défi confusément.

Elle se rejette amèrement quand elle porte en elle, sous la première couche apparente, le goût du "mais pourquoi moi je devrais accepter ?"

Sous les traits d'un événement dont nous nous sentons victime, les portes de l'acceptable nécessité de passer au-delà de la déception s'entrouvrent.
Sans vouloir faire comme si rien ne s'était passé, car l'expérience sert d'exemple, nous résistons à accepter nos problèmes plus souvent que nous cédons.
Accepter sera incontournable pour nous délivrer.. que l'employeur casse notre contrat, qu'un compagnon de vie parte sur de nouveaux horizons,...que le deuil entrecoupe une vie.

Il faut trouver le moyen d'accéder à cette partie de nous qui peut renoncer à lutter et accepter : accepter la douleur qui nous lie au passé, une personne écartée de notre environnement pour un devenir invisible encore.
C'est là que réside notre délivrance possible et l'ignorer sera pénitence dans le futur.

A l'ombre se tapit l'envie de surpasser l'insurmontable au fond de nous, après larmes et troubles divers, l'égo entend qu'il peut couper ce fil à ce temps révolu ou ces personnes.
Comme larguer les amarres pour recommencer ailleurs, dans un coin de notre tête victorieuse ?

Accepter c'est lâcher prise.

Yes you can !
L'adage vaut pour chacun d'entre nous : puissions-nous cultiver notre jardin secret et avec le cœur plein d'élan !

Qui mieux que nous-mêmes pour définir ce que nous aimons et comment nous voulons être entourés ?

Veiller sur soi est un devoir et comprendre comment être reconnu et validé pour ce que l'on est vraiment par ses pairs est essentiel.

Nous sommes des oeuvres de création uniques, nous devons par voie de conséquence honorer nos besoins et nous couvrir d'attentions.

Nous devons rester dans une haute vision de nous-même que nul ne puisse altérer.

Si certains, de passage dans votre vie, créent tumultes et raz de marée, reconstruisez vous aussitôt encore plus serein ! Tout repousse après le passage du cyclone à condition de resemer et de ressentir que tout est révolu pour renaître.

Vous vous devez cet élan de cœur : croire en vous et que l'amour vous sourira sous plein de formes (respect, sourire, service rendu, rencontre...) car les autres vous aident à vous transformer année après année. Alors, dans quelle direction votre cœur vous appelle-t-il ?
Etre présent à soi-même, une évidence qui s'impose à l'esprit  ! Une réalité plus complexe dans la mise en application mentale !

Comment y parvenir ? Certains ont appris depuis tout petit. D'autres cherchent les panneaux de signalisation sur leur route pour deviner la destination.

Etre dans une présence à soi-même représente plus que le "être bien et ensemble, unis aux autres et fidèle à ses sensations à la fois". 
Le lien d'écoute, les sensations partagées en aller-retours ne sont que des pré-requis.
Si vous êtes là, toutes les parties de vous, visibles et non palpables, seront du voyage ou plutôt du moment suspendu !

Comme si vous étiez dans une profondeur avec vous-même, dans chaque émoi porté en vous ou altruiste et attentivement aimanté par ce que les autres renvoient d'eux-mêmes.

Comme si vous détectiez le langage du corps : vous et le leur, par écho, miroir ou transparence.

Comme si vous étiez replié sur le soi sans verrouillage mais assez pour être serein et jamais déracinable.

Comme si ce temps de chaque instant était une ouverture à l'autre sans aller le chercher, sans s'immiscer, sans s'imposer.Etre présent c'est toucher à une harmonie où tout ce que je suis et tout ce que vous faites et dites se marient, sans se déséquilibrer...jamais !

Vous êtes présent pour entretenir des suites de chronologies, sans heurts, qui affleurent l'empathie ou la laissent à distance, où le poids du temps s'efface.

C'est un souffle, un ravissement, un accueil spontané des plus plaisants : vous et l'environnement en toile de fond d'une belle peinture qui vous ressemble.
Une vie peut avoir montré des contours cruels, revêtu des couleurs tristes.. qu'il peut-être difficile d'être mère à 13 ans par exemple ou de casser des amandes à main 10h par jour à 8 ans !

Ainsi résonne en soi un "pourquoi moi " inlassablement ! Que se passe-t-il dans la tête de ces faux enfants obligés de grandir si vite ?

Comment comprendre une telle destinée, un monde qui se présente sans attraits et sans pitié ?
Ceux qui cherchent une réponse sont par chance des êtres courageux.
Ceux qui se battent pour sortir de leur condition peuvent être épaulés sur leur chemin pour réussir comme en thérapie.
Ceux qui veulent accéder à leur vérité intérieure trouveront leur livre qui répondra au pourquoi un jour ou les bons interlocuteurs pour les éclairer.

Car c'est en cherchant que l'on trouve, n'est ce pas ?

Contact

06 16 39 85 61

Courriel : contact@bazycarine.fr

Centre médical la Peyronnette
25 Avenue de Villemur
31140 Saint-Alban