12-11-2019
Le temps recoupé dans une vie entière par le" tic tac du sommeil" équivaut à un tiers, c'est très impressionnant quand on en prend conscience !

Il serait judicieux de mieux prendre soin de ce temps qui s'écoule indéfiniment chaque 24 heures, n'est ce pas ?

Cette période de relaxation du corps, notre cher ami, exige de mettre de côté toute forme de réactivité à notre environnement. 

Pourtant, nos sens sont constamment en éveil et s'activent au moindre bruit tandis que le mental s'acharne à repasser le même disque en boucle quand l'émotionnel est atteint. C'est par conséquent une pratique naturelle parfois complexe.

Les fonctions du sommeil sont merveilleuses : équilibre du système immunitaire, assimilation de notre vécu (lourd, inconscient ou réalisé), réparation de notre organisme qui nous prête son enveloppe chaque jour, diminution de nos tensions en tous genres,..

Entre six phases de veille et de sommeil paradoxal (recueil de nos rêveries), le cerveau a une activité électrique de différents niveaux mesurables (alpha, bêta, etc..). Voici donc la source d'une difficulté connue pour passer entre ces cycles incontournables : atteindre le sommeil profond qui est parfois un défi ! Il doit alterner et se combiner dans un ordre logique. Il n'y a donc qu'un pas à franchir avant de tomber dans les troubles du sommeil  trop léger, non récupérateur...

L'idéal reste la quête du sommeil non paradoxal : si il est approfondi, il est proche de la transe et de la méditation pratiquée à un niveau poussé.

Pourquoi ne pas songer, dans ce cas, à méditer si vous ne pouvez pas dormir sur vos deux oreilles ?
12-11-2019
Nous sommes tous conscients que le sommeil a une fonction capitale mais qu'il n'est pas proportionnel à la fatigue héritée de la journée.
En effet, nous dormons plus ou moins le même nombre d'heures chaque nuit sans lien direct avec l'effort diurne accompli.

Le sommeil demeure d'origine génétique, influencé par une horloge intérieure propre à chacun : ne dit-on pas "être du soir ou du matin" ?
Le repos ..comment y parvenir dans ces conditions ?

Il provient de notre capacité à atteindre l'état de sommeil profond, phase après phase connue sous la description de" train du sommeil".

Comment faire ?

Il faut que les muscles acceptent de se relâcher de toute tension, que les pensées captives ou obsédantes s'apaisent voire s'évacuent et enfin que le conscient cérébral (par opposition au subconscient ou inconscient) lâche prise.
Alors le rythme du coeur diminue et la température corporelle décroît pour plonger en sommeil dit profond. Ce dernier ne permet pas la manifestation des rêves mais au contraire éteint toute lumière intérieure : comme si nous oublions pour un temps provisoire que nous avons conscience de nous-mêmes ! Cela peut être déstabilisant pour ceux qui ont peur de l'avenir et besoin de contrôle.
Etrangement l'âge avançant, nous accédons plus vite et plus longuement au sommeil paradoxal : ce fameux temps de la rêverie..redeviendrions-nous ainsi la nuit des enfants doux- rêveurs ? Quel bonheur !
12-11-2019
Une difficulté à se visualiser pour après-demain,
Face à un corps qui se fige, se sclérose ?
Un mental qui coule comme un bateau sans fond ?
Une recherche désespérée de ressources pour garder la tête hors des flots ?
Vous êtes pourtant, même face à la maladie une personne aux ressources insoupçonnées.
Rien ne peut vous dépasser que vous ne puissiez absorber !
En vous une vibration de volonté de survie se dispense heure après heure
jusqu'au dernier souffle depuis votre naissance.
Cette force inimaginable appelle la guérison, ce potentiel jamais effacé de votre mémoire.
Acceptez d'être soutenu pour enjamber tout découragement par la thérapie.
12-11-2019
Alcool ou produit de substitution : tout est bon pour perdre la raison !

Envie de détachement, de décompression, quête de courage ou de désinhibition : les raisons sont multiples pour plonger pas à pas dans l'addiction.
Ou plutôt pour y goûter au tout début sans imaginer que le "danger est masqué" : dès une première prise, le sujet peut sombrer !

Comme une araignée qui tisse sa toile comme si de rien n'était !

La résistance devient à terme impossible, l'obsession mentale envahit le corps.

Le plongeon est dantesque, dans certains cas, quand le produit remplit une fonction indispensable, aux yeux de la victime, qui se transforme en consommant.
Mais comment sauver alors un être tombé dans l'addiction ?

Si celui-ci vit un déni voire un tabou (chez de nombreuses femmes c'est le lien à l'alcool notamment) : comment lui faire admettre sa réelle dépendance ?
Il faut faire advenir deux moments-clés dans la prise de conscience de la personne : que la personne accepte de demander de l'aide pour se libérer du produit puis qu'elle admette être dans l'incapacité de résoudre son problème sans être accompagnée.

C'est les prémisses de la délivrance. Vous et nous, nous les aiderons à couper leurs chaînes.
12-11-2019
Quand le SAMU arrive pour nous recueillir au beau milieu d'une journée de travail inachevée, en plein burn out..

Quand le réveil sonne au beau matin mais qu'aucun muscle ne répond pour se mobiliser..

Quand l'énergie est totalement absente du corps et que même la force mentale s'est essoufflée : le burn out est vraiment là !
C'est un constat qui nous dépasse, un combat qui n'en est pas car on est déjà tombé à terre.

La personne atteinte d'épuisement comprend difficilement la raison d'une telle inertie, sourde et si implacable quand elle s'abat. Malgré les signes avant-coureurs, le symptôme final est sans échappatoire possible : la fatigue est sans commune mesure !

Le physique rejoint le moral, la personne se sent comme aspirée au fond d'un puits. C'est le signe distinctif du burn out.

La pause "arrêt maladie" est inévitable et salutaire à la fois : il est temps de comprendre après quoi vous courrez si vite pour vous être épuisé.

Par ambition, par insécurité chronique, par besoin d'exister à travers une démonstration sociale, par imitation inconsciente ou par recherche de perfection ?

Heureusement le thérapeute est là pour vous offrir les réponses adéquates et enclencher le processus de régénérescence en décodant le pourquoi.

Tel un "robot" mis face à lui-même et qui ne veut plus mettre de piles pour avancer ainsi contraint et forcé : vous savez le prix à payer après avoir chuté.

C'est votre corps qui a réclamé sa pause vitale pour être sauvegardé.
La mécanique intérieure de bien-être repartira quand le rythme biologique aura retrouvé son équilibre et l'envie de marcher plutôt que de courir s'imposera à vous comme une renaissance.

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